Une femme peut avoir recours à la maternité de substitution en cas d’absence de l’utérus ou en cas de maladie grave, génétique ou acquise (maladie du cœur, hypertension, maladie du foie ou des reins, antécédents de fausses couches récurrentes, etc.). ) qui rend la grossesse impossible ou dangereuse pour sa vie.
Dans ce cas , c’est dans l’ utérus d’une mère porteuse que sera implanté , l’embryon résultant de la fécondation in vitro des ovocytes de la mère avec le sperme de son partenaire.
Dans plusieurs cas et pour des raisons médicales, l’embryon peut provenir de l’ovocyte d’une donneuse (don d’ovocytes) et d’un don de sperme.
Le transfert d’ovocytes fécondés provenant d’une donneuse, dans l’utérus de la père porteuse est autorisé par ordonnance du tribunal.
La mère porteuse doit être âgée de 25 à 45 ans, avoir au moins un enfant et ne pas avoir subi plus de deux césariennes. Afin de s’assurer de son adéquation, elle sera soumise à un contrôle incluant des tests de diagnostic et une évaluation psychologique. Si la mère porteuse candidate est mariée, le consentement écrit de son époux est requis.
Après l’approbation de la demande et la réception de la décision du tribunal par le conseillé juridique le médecin peut procéder au transfert d’embryons .
Après la naissance du bébé, seuls les parents biologiques sont mentionnés sur l’acte de naissance et ont la garde de l’enfant.
La maternité de substitution est interdite dans de nombreux pays européens, mais en Grèce, elle est en vigueur depuis 2002 (loi n ° 3089/2002).
Le processus de la mère porteuse nécessite une excellente coopération entre le couple, le médecin et son équipe, ainsi que le conseillé juridique en charge de la procédure.
LeDr Vassilopoulos, son équipe de 10 membres et le centre de procréation assistée de l’Institute of Life – IASO suivent fidèlement les développements médicaux, appliquent les normes de certification internationales et sont toujours a votre disposition afin de vous guider en toute sécurité sur le chemin de la maternité.